1er mai : Contre la division, Contre la tentation du sauveur suprême, Construisons la solidarité prolétarienne.

Nous savons qu’aucun parti politique ne nous sauvera, quelle que soit sa couleur. Notre syndicat n’attend rien de ces individus qui cessent de produire pour se consacrer exclusivement à nous manipuler et à nous diriger.

Le travail, il faut vraiment y faire sa fête !

Hormis pour celles et ceux qui travaillent souvent double à cette occasion, depuis déjà plusieurs dé-
cennies, en France, le 1er Mai est vécu soit comme un simple jour férié (le seul de l’année où on ne bosse
pas tout en étant payé à se la couler douce, « fête » officiellement instaurée en 1941 par Pétain), soit
comme l’occasion d’une cérémonie d’un autre âge (quelques défilés traîne-savates de plus en plus déser-
tés clamant de nombreuses revendications disparates). Il n’en fut pas toujours ainsi

inauguration du nouveau local de la CNT-AIT de PAU

Samedi 14 octobre, inauguration du nouveau local de la CNT-AIT au 22 rue Pasteur à Pau 14H, Conférence-débat « Pourquoi vouloir une société anarchiste aujourd’hui? » de Carlos Taïbo Carlos Taïbo a pris part dès le début au mouvement du “15 M”, professeur de sciences...

Non au travail forcé! Non au travail gratuit!

La section chômeurs précaires de la CNT-AIT s’oppose à toute convocation individuelle sans l’assistance d’un conseiller syndical de son choix. Elle s’oppose également à cette contractualisation vers une précarité pérennisée. Nous rappelons l’inefficacité des précédentes mesures de fusion de l’ANPE et de l’ASSEDIC en Pôle Emploi et le mythe du conseiller unique, désormais dépassé par le nombre de demandeurs d’emploi qui lui est attribué.

Le Combat syndicaliste N°256 vient de paraître

SommaireÉconomieLes États seront toujours nos ennemis (p. 3)Leçon : si t'es pauvre, c'est de ta faute ! (p. 5)Les mécanismes contemporains de la création monétaire (p. 7)TravailNi capitalisation inéquitable ! Ni répartition inégalitaire ! Abolition du...

Réforme des retraites (suite)

Aujourd’hui, en plus avec la montée de l’extrême-droite bras armé du capitalisme pour détruire toutes les revendications sociales, on peut s’interroger, naturellement, sur la place des partis politiques et de leur nécessité pour la classe laborieuse ?

La démocratie

La démocratie, ce terme flou qui veut dire tout et son contraire. Qu’elle soit représentative, participative ou directe, ses variantes recouvrent des choses très différentes.

Le problème, c’est que l’aura incontestablement positive de la démocratie a tendance à provoquer des débats stériles pour déterminer qui est le plus démocrate et par conséquent le plus légitime à parler. Cela élude au final tout débat de fond.

Contre le productivisme

Vouloir produire à l’infini, et penser à une croissance infinie, est être soit fou soit économiste, comme on dit souvent. Produire pour produire, parce qu’il le faut bien. C’est nous enfermer à vie dans les bullshit job ou boulots à la con, et inutiles ou dans la production d’objets dont on peut très bien se passer ; à la différence des boulots de merde rarement recherchés en soi mais dont on ne saurait se passer. Il faut donc décroître la production du superflu induit par les jobs à la con ; et mieux répartir la charge commune qui nous apparaît pour l’heVouloir produire à l’infini, et penser à une croissance infinie, est être soit fou soit économiste, comme on dit souvent. Produire pour produire, parce qu’il le faut bien. C’est nous enfermer à vie dans les bullshit job ou boulots à la con, et inutiles ou dans la production d’objets dont on peut très bien se passer ; à la différence des boulots de merde rarement recherchés en soi mais dont on ne saurait se passer. Il faut donc décroître la production du superflu induit par les jobs à la con ; et mieux répartir la charge commune qui nous apparaît pour l’heure comme indispensable.ure comme indispensable.

Contre le capitalisme

Fondamentalement, le capitalisme est la création et l’organisation des inégalités fondées sur le capital. Cette base permet d’inventer une forme infinie de capitalisme, selon les méthode de répartition du capital et les limites que l’on pose à son pouvoir. Ce qui donne l’impression que le capitalisme est un horizon indépassable.

Construire une lutte est une victoire ; toute élection est une défaite

Même si certaines luttes peuvent être vécues comme des échecs, le fait de s’organiser de manière collective nous renforce sur le long terme.

Le travail, il faut vraiment y faire sa fête !

Hormis pour celles et ceux qui travaillent souvent double à cette occasion, depuis déjà plusieurs dé-
cennies, en France, le 1er Mai est vécu soit comme un simple jour férié (le seul de l’année où on ne bosse
pas tout en étant payé à se la couler douce, « fête » officiellement instaurée en 1941 par Pétain), soit
comme l’occasion d’une cérémonie d’un autre âge (quelques défilés traîne-savates de plus en plus déser-
tés clamant de nombreuses revendications disparates). Il n’en fut pas toujours ainsi

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Non au travail forcé! Non au travail gratuit!

La section chômeurs précaires de la CNT-AIT s’oppose à toute convocation individuelle sans l’assistance d’un conseiller syndical de son choix. Elle s’oppose également à cette contractualisation vers une précarité pérennisée. Nous rappelons l’inefficacité des précédentes mesures de fusion de l’ANPE et de l’ASSEDIC en Pôle Emploi et le mythe du conseiller unique, désormais dépassé par le nombre de demandeurs d’emploi qui lui est attribué.

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Contre le productivisme

Contre le productivisme

Vouloir produire à l’infini, et penser à une croissance infinie, est être soit fou soit économiste, comme on dit souvent. Produire pour produire, parce qu’il le faut bien. C’est nous enfermer à vie dans les bullshit job ou boulots à la con, et inutiles ou dans la production d’objets dont on peut très bien se passer ; à la différence des boulots de merde rarement recherchés en soi mais dont on ne saurait se passer. Il faut donc décroître la production du superflu induit par les jobs à la con ; et mieux répartir la charge commune qui nous apparaît pour l’heVouloir produire à l’infini, et penser à une croissance infinie, est être soit fou soit économiste, comme on dit souvent. Produire pour produire, parce qu’il le faut bien. C’est nous enfermer à vie dans les bullshit job ou boulots à la con, et inutiles ou dans la production d’objets dont on peut très bien se passer ; à la différence des boulots de merde rarement recherchés en soi mais dont on ne saurait se passer. Il faut donc décroître la production du superflu induit par les jobs à la con ; et mieux répartir la charge commune qui nous apparaît pour l’heure comme indispensable.ure comme indispensable.

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Contre le capitalisme

Fondamentalement, le capitalisme est la création et l’organisation des inégalités fondées sur le capital. Cette base permet d’inventer une forme infinie de capitalisme, selon les méthode de répartition du capital et les limites que l’on pose à son pouvoir. Ce qui donne l’impression que le capitalisme est un horizon indépassable.

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